Sans renier le timbre de sa propre voix ni sa manière de comprendre la poésie, l’Orelli de Sinopie répond aux provocations de la société contemporaine en portant son regard au-delà des horizons coutumiers et en ouvrant ses pages à d’autres thèmes (tels la corruption politique, les méfaits de l’urbanisme, l’horreur et l’absurdité de la guerre), à d’autres voix et à d’autres langues, qui ne sont plus celles du moi poétique.